Shiroe - Acte I

A mesure que tu te rapproches, tu constates que plusieurs gardes se trouvent à côté de la charrette, à sa tête tu vois Daryl, le convoi à bien du mal à se frayer un chemin au travers de la foule. Les tonneaux qui emplissent la charrette semblent encore vide.

Je m'approche du convoi.
- Daryl! dis-je en levant la main pour attirer son attention.

Tu te rapproches un peu, quelques gardes se retournent, Daryl aussi. Il sourit à ta vue, ton retour semble lui faire plaisir. Il arrête le convoi avant d'en descendre, et se dirige vers toi.

[Daryl]: "Shiroe ! Content de vous revoir, venez ! Nous avons à discuter, montez donc, nous parlerons en chemin !"

Je monte comme indiqué.
- Je vous écoute. dis-je calmement.

Après être remonté, il recommence à faire avancer le convoi.

[Daryl]: "Avant tout, je me dois de poser la question, vous êtes toujours partant pour attaquer le camp de pillards dans la forêt ?"

- Bien entendu! Je suis revenu pour vous aider.

[Daryl]: "Bien, nous allons attaquer plus tôt que prévu, nous n'avons pas le choix, ils nous forcent la main, leurs attaques font plusieurs victimes à chaque fois, des marchands, des voyageurs, si nous attendons trop, ils risquent de nous échapper ... J'ai un plan, je vais vous l'exposer. Lorsque nous avons fait la reconnaissance, nous avons constaté, vous et moi, qu'ils se sont terrés dans une sorte de cuvette naturelle, si nous attaquons de face, nous subirons de lourde pertes, nous ne pouvons pas nous le permettre, aussi j'ai eu une idée, il existe sur des îles proches, de grande mines de soufre, nous pourrions nous en servir. En tenant, le goulot d'étranglement qui les protège, nous pourrions utiliser le soufre qui est incroyablement inflammable, pour enflammer leur camp et ainsi les avoir. Qu'en pensez vous ?"

- Ma foi, j'envisageai bien un plan de ce genre. Avec un dispositif approprié nous pourrions tenir ce goulot un bon moment sans avoir l'avantage du nombre. Il faudra toutefois veiller à neutraliser les sentinelles pour nous mettre en position. Vous comptez bien lancez quelques tonneaux du haut des falaises?

[Daryl]: "Oui je voudrai utiliser les pentes naturelles pour faire rouler les tonneaux enflammés dans leur camp, nous nous chargerons personnellement des sentinelles, un petit nombre d'entre nous devra le faire. Je compte aussi garder quelques tonneaux pour les envoyer quand ils se précipiteront dans le goulot."

- Quand à moi, je pourrais vous aider les contenir avec quelques sorts. Sans trop nous encombrer, nous pourrions également apporter quelques barricades de fortune.

[Daryl]: "Je pense que ce ne sera pas nécessaire, j'ai peur que nous soyons trop chargé. Nous voilà arrivé, il va falloir négocier, ces insulaires ont le sens du profit ..."

La charrette se stoppe devant une échoppe qui semble vendre des produits de tout horizon.

Je descend de la charrette et suit le soldat dans l'échoppe pour assister à la négociation.

Tu rentres dans l'échoppe, plusieurs marins passent sans cesse pour déposer des choses dans la réserve, quelque clients s'émerveillent sur les différents objets du magasin, visiblement l'échoppe vend de tout. Tu vois des objets que tu n'as jamais vu, des reliques venues de terre étranges et étrangère, des matériau que tu n'as jamais observé. Daryl s'avance jusqu'à un comptoir derrière lequel se trouve un marchand habillé comme un local, si bien qu'il offre un contraste remarquable avec le reste de l'échoppe.

[Marchand]: "Que puis-je pour vous ?"

Dit-il en regardant Daryl. Daryl répond d'une voix ferme, il te semble qu'il ne veux pas perdre de temps.

[Daryl]: "Nous souhaitons voir l'homme qui possède cette boutique, immédiatement, ordre de la garde !"

Le marchand paraît surpris dans un premier temps avant de se reprendre.

[Marchand]:" Bien sûr, je vais le chercher de suite !"

Il se met à rejoindre en toute hâte l'arrière boutique, dans laquelle il disparaît, il revient accompagné d'un gnome. Ce dernier semble vieux, très vieux, ses rides profondes entaillent son visage. Ses cheveux blancs courts, lui donnent un air sévère. Drapé dans un vêtement exotique, il s'approche de vous.

[Gnome]: "A quoi m'est dû l'honneur de votre visite ?"

Dit-il sans plus de formalité. Daryl ne se démonta pas.

[Daryl]: "J'ai besoin de négocier avec vous, pour de grandes quantités, mais un salon serait plus adapté pour cela."

Le gnome arbora un sourire non contenu.

[Gnome]: "Bien entendu, suivez moi."

Il se dirige vers l'arrière boutique. Vous le suivez. L'arrière boutique est une sorte de grand entrepôt, où se trouvent de nombreux produits étranges. Vous y passez rapidement sans vous arrêter, vous montez un escalier avant d'entrer dans un vestibule, là encore vous ne vous arrêtez pas. Vous arrivez dans un salon richement décoré, plein de tableaux de styles variés, de statuette en ivoire représentant des choses étranges. Le gnome vous fait assoir dans un canapé, devant lequel se trouve une table basse, lui, s'assoit dans un fauteuil, un peu plus haut en face de vous.

[Gnome]: "Dites, moi tout."

[Daryl]: "Nous aurions besoin d'une grande quantité de soufre, environ 5 mètres cubes..."

A peine eut il le temps de prononcer la quantité astronomique de la matière dont vous avez besoin que le gnome s'exclama.

[Gnome]: "Ais-je bien entendu ?! 5 mètres cubes ?! Vous vous rendez compte de ce que cela représente ? Admettons, que je l'aie comment pourriez vous payer ?"

Le gnome sourit légèrement, cette fois ci, il tenta de cacher son sourire, Daryl le vit aussi bien que toi, et il sourit légèrement à son tour. Il sortit un papier de sa poche et le tendit au gnome qui le prit. Le tout se fit sans un mot. Le silence régna en maître pendant l'espace d'une dizaine de seconde. Le visage du Gnome se décomposa. Daryl repris.

[Daryl]: "Disons que je peux résoudre ce petit problème en échange de la quantité voulue."

Le gnome sembla se vexer un peu. Et grommela.

[Gnome]: "Prenez ce dont vous avez besoin."

[Daryl]: "Je suis sûr que vos hommes vont nous aider, n'est ce pas ?"

[Gnome]: "Enfoiré ! Tu viens faire du chantage et en plus tu réclames de l'aide ..."

[Daryl]: "Faites attention à ce que vous dites, il existe des potences à votre taille."

Le gnome se calma un peu.

[Gnome]: "Bien, allez vous en, mes hommes vous apporteront l'aide nécessaire."

Il claqua des doigts, un homme à la musculature impressionnante sortit d'une porte. Le gnome lui chuchota quelque chose à l'oreille de celui ci qui dû se baisser pour écouter. Il vous raccompagna en bas dans l'entrepôt où il se dirigea vers une immense cuve en cuivre.

[Daryl]: "Je suppose que c'est ici, allons chercher des bras."

Vous sortez tous les deux et Daryl donne l'ordre aux gardes qui commencent à bouger les tonneaux et à les amener dans l'échoppe. Daryl se rassit tranquillement à l'avant de la charrette et souffla un grand coup.

[Daryl]: "Tout c'est bien passé, j'imagine que vous avez des questions ?"

- Je suis curieux de savoir ce qu'il y avait sur ce bout de papier qui a décomposé le visage souriant de notre fournisseur.
Dis-je amusé.

[Daryl]: "Et bien disons, que notre ami marchand, n'est pas le plus honnête des gens qui vivent ici. Il a traîné dans pas mal d'affaires sales, et la milice a des dossiers sur lui. Je lui ai fait un peu peur, mais en soit, il n'est pas vraiment la racine du problème, c'est pour cela que nous n'avons jamais vraiment agi, nous attendions de pouvoir remonter jusqu'aux sources ... Malheureusement ça un fait un bout de temps qu'on essaye mais nous avons été tenu en échec, c'était peine perdue, nous avions le choix de le faire pendre ou de se servir de lui, je ne savais pas si il avait tout ce que je voulais, j'ai compris à son premier sourire qu'il était prêt à nous vendre le tout, et il nous l'aurait fait payer à prix d'or, j'ai donc choisi de le substituer de sa peine en échange de ce compromis. Le papier contenait une liste de preuve, de témoignages, c'est une copie évidemment. Mais je tiendrai parole, même forcé, il nous rend un grand service, peu de marchand peuvent se targuer d'avoir autant de soufre à vendre sur l'instant, bien sûr en passant commande, n'importe lequel de ces truands avares aurait fait l'affaire, mais nous n'avons plus le temps..."

*Truands* relevais-je amusé.

- Il vous manque autre chose en plus de tout ce soufre? Si ce n'est pas le cas, permettais que je vous demande si il y a une bibliothèque ou une échoppe qui donne dans l'occultisme?

[Daryl]: "Nous avons tous ce qu'il nous faut, nous commencerons les préparatifs dès notre arrivée à la caserne. Il y a bien une bibliothèque, c'est un vieux bâtiment situé dans le centre de la ville, près du temple de Pélor. Pour les échoppes liées à l'occulte, je dois bien avouer que je n'en sais rien, à vrai dire je ne me suis jamais posé la question."

Pendant que vous discutez les gardes comme les hommes de main du gnome viennent amener des barils de souffre pour les charger dans la charrette.

- En ce cas, je vais vous laisser, je vais finir mon enquête. Je vous retrouverais ce soir à la caserne. Quand comptez-vous partir à leur camp?

[Daryl]: "Demain au soir, nous attaquerons dans la nuit suivante."

- Très bien. Nous nous reverrons tout à l'heure.

Sur ce, je pars vers la bibliothèque que m'a indiqué Daryl.

Pendant que la charrette continue de se remplir, tu pars vers le temple de Pélor, tu erres dans les rue enneigés de la ville. La ville semble fonctionner au ralenti. Les rues qui remontent vers la place du marché sont étroites, mais les passants peu nombreux. Tu arrives sur la place du marché elle te paraît quasiment déserte par rapport à la dernière fois. Quelques étals sont présents mais ils ne comblent pas le vide laissé par l'absence des autres.

Je tente de trouver le "vieux bâtiment" que l'on m'a indiqué et qui pourrait s'apparenter à une bibliothèque. Si je ne trouve pas, je demande à une personne de m'indiquer plus exactement.

Tu tente de trouver le bâtiment, mais tu ne le repère pas, sans plus perdre de temps, tu arrêtes un passant, qui t'indique que la bibliothèque se situe dans une rue non loin de là. Tu t'y rends, tu n'as pas besoin de parcourir longtemps la rue, avant de te retrouver face à un bâtiment bien singulier qui se distingue et par sa taille et par son style. Nettement plus imposant que le reste, il est fait de pierre uniquement. Son architecture massive et carrée palie son vieillissement, si bien que des siècles plus tard le bâtiment tient toujours debout. L'entrée est constituée d'une grande double porte en bois, encadrée par une immense arcade de pierre. Le bâtiment semble austère et est dénué des nombreux ornements qui caractèrisent le temple de Pélor situé seulement à quelques rues de là.

Je me dirige vers la porte en bois pour entrer dans le bâtiment si celui-ci est ouvert.

La porte est ouverte, un grincement aigu se fait entendre lorsque tu la pousses, tu rentres alors dans l'édifice, tu est accueilli par un hall d'entrée de taille modeste, qui comporte un escalier double ainsi que deux portes placées en symétrie rapport à l'escalier central.

Je me dirige vers la porte pour l'ouvrir.

Tu te diriges vers la porte la plus proche et l'ouvres, tu découvres alors une grande salle illuminé par un puit de lumière au plafond ainsi que de nombreuses torches et bougies disposés en tout point de la salle, et aventageusement disposé de manière à illuminer les grands bureaux, sur lesquels se penchent des personnes diverses et variés, de grande allées contiennent des rangées de livre dont les couvertures multicolores tapissent les étagères en bois massif. La salle est recouverte d'un grand parquet de bois clair. L'ensemble baigne dans un contraste entre la lumière générée par le puit qui traverse apparemment l'étage supérieur et les bougies qui font que le centre de la salle où se trouvent les bureaux est très lumineux alors que les rayons d'étagères sont plongés dans la pénombre. Tu remarques alors une statue de pierre disposé à ta gauche, de l'autre côté de la salle qui doit être l'autre entrée tu en remarques une similaire. Toutes les deux, elles représentent, une sorte de gardien de pierre muni d'une hallebarde, le tout mesure presque 2 mètres de haut.

Je m'aventure émerveillé dans la pièce. Passé les premières secondes à contempler le lieu, je déambule un peu au hasard, cherchant un rayon pouvant correspondre à mes attentes : la magie, les malédictions, l'occulte, ...

Tu erres un peu dans tous les rayons, passant par la biologie, la médecine, l'histoire, la théologie, la poésie, la littérature et enfin tu trouves le rayon dédié à la magie profane, fort de nombreux recueils et grimoires, il te semble qu'il te faudrai des années pour assimiler tout le savoir contenu entre ces mots, entre ces lignes, entre ces pages.

Je laisse mon regard survoler les reliures de livre pour repérer cette fois un titre susceptible de m'aider dans mes recherches.

Sans trouver de livre parlant d'une telle pierre, tu trouves des livres parlant d'objets maudits, de livres spécialisé en malédictions, et autre affaiblissements tandis que certain attachent plus d'importance à la théorie pure d'autre s'attardent sur des applications intéressantes aux objets magiques ou encore aux propriétés fondamentales d'une telle magie.

Je prend trois-quatre livres parlant d'objets maudits, sur les applications de ceux ci. Un ou deux livres sur les propriétés fondamentales.
Je m'installe à une table et feuillette les livres, commençant par lire les chapitres pour me faire une idée plus précise du contenu.

Tu te saisis de quelques livres et vas t'assoir à un bureau d'étude, tu regarde le sommaire de chacun des livres que tu as pris. Le premier se décompose en 35 chapitres, commençeant par une introduction, il initie d'abord le lecteur au concept même d'objets maudits, les chapitres s'enchainent ensuite, sur les similarités avec les objets magiques, occupant 9 chapitres, puis, le gros du volume traite des objets maudits connus et usuels, pendant presque 16 chapitres, enfin une dizaines de chapitres traitent de la création des objets maudits, la conclusion se termine par une mise en garde. Le second traité, plus historique, dans son approche comme dans son contenu traite des découvertes en matière d'objets maudits, des grands noms de la magie qui ont découvert le ensorcelements les plus connus, les objets maudits selon leurs époques, les objets maudits rares ou supposés disparu, quelques artéfacts maudits, parmi la multitude de chapitre qui compose l'épais ouvrage, un chapitre entier traite d'un artéfact, prenant la forme d'un jeu de carte. Le dernier livre plus intérréssant parle des objets maudits rares, méconnus, sa structure n'est pas régie en chapitre comme les deux premiers, telle une incroyable dissertation sur la magie, l'auteur avance ses théories et arguments expliquant de manière très théorique comment ces objets magiques sont concevable allant jusqu'à proposer des composantes verbales et matérielles pour incanter les sortilèges nécessaires, ses explications te sont presque incompréhensible à toi qui manie une magie pure, divine par essence qui ne repose que sur ta connexion avec la nature et ton dieu. Les deux livres sur les propriétés fondamentales sont incompréhensibles purement théoriques ils énoncent une par une les propriétés fondamentales partant du cas général au cas particuliers, une phrase revient souvent dans ta lecture en diagonale:
"Soit K un espace pré-Mordenkainenien de régularité suffisante, soient C et D deux constantes de Bigby. On considére alors ..."

Dans un premier temps, je prend le temps de lire la mise en garde du premier ouvrage.
Je me penche ensuite plus en avant sur les pages traitant des objets, artefacts maudits connus. Ainsi que les moins connus, rares et supposés perdus.

*Avec un peu de chance cette pierre est décrite dans un de ces bouquins.*
Pensais-je.

Je survole donc la liste des objets, m'aidant des illustrations si il y a pour identifier l'objet. Je ne me cantonne pas à rechercher la pierre en elle même, elle faisait peut être partie intégrante d'autre chose. Jadis peut être était elle incrustée dans une arme ou s'associée-t-elle à un bâton, un bijou. Je suis donc attentif à lire les effets néfastes qui pourrait se retrouver dans ce que j'ai vécu tel que mon rêve étrange, la colère montante, les effets dans le marais, etc...

Tu entames donc la mise en garde.

Le lecteur avisé, aura aisément compris le danger de tels objets, malgré tout, il est de mon devoir, en tant que professeur de magie, mais aussi en tant qu'être responsable, de mettre en garde quiconque voudrait utiliser la magie afin de créer des objets maudits, leurs utilisations ne sont pas à prendre à la légère, une mauvaise manipulation pourrait coûter des vies, comme souvent direz vous dès lors qu'il est question de magie, mais il est hélas question ici, d'un autre genre de magie qui a été créée non pour servir, mais bien pour asservir. Si la magie en elle même est dangereuse, aucun objet maudit ne peut être considéré comme sûr, et bien qu'ils reprèsentent un point d'étude fondamental de la magie profane, ils restent trop instable.

La magie comme arme, le savoir comme guide, la sagesse comme bouclier.

Tu poursuis alors tes recherches, qui s'avèrent infructueuses, bien qu'elles soient d'être inintéressante, aucune pierre du genre ne semble avoir été recensé, pas même l'ombre d'un objet présentant des caractéristiques similaires.

Je range les livres où je les ai récupérés. Si il se fait tard, je songe à rentrer. Si j'ai encore du temps, je cherche d'autres livres sur les objets maudits, cette fois sur les différentes façon de s'en débarrasser.

Tu ranges les livres, c'est seulement à ce moment là que tu remarques que le puit de lumière n'illumine plus rien depuis un certain temps et que seules les bougies et les torches assurent l'éclairage de la bibliothèque, le soleil s'étant déjà couché depuis un moment.

Je range donc les livres et me prépare pour rentrer à la caserne.

Tu reposes les livres là où tu les as trouvés, et sort de la bibliothèque sans aucun problème.

Je me me rend à la caserne d'un pas pressé.

Tu reviens à la caserne prestement, dans le noir, dans les rues enneigés de la ville.

Je passe au réfectoire pour savoir si ils ont de quoi me préparer des rations pour demain.

Tu rentres dans le réfectoire qui semble désert, plus personne n'est là depuis un moment et les bougies ont déjà été souflée depuis un moment.

Je remonte donc me coucher, pour me lever de bonne heure demain.

Tu t'en vas dans ta chambre pour te coucher rapidement, le sommeil te gagne assez vite.

1er Îliau 158 de l'ère Artaith

Tu sembles te réveiller bien avant que le soleil se lève.

Après m'être réveillé et préparé doucement , je me dirige une nouvelle fois au réfectoire y attendre l'horaire d'ouverture.

Cette fois tu vas au réfectoire qui est blindé de monde, tout les miliciens logeant dans la caserne sont en train de prendre leur repas du matin, un bon morceau de pain avec un peu lard et une soupe épaisse. À peine tu est rentré dans le réfectoire que tu vois Daryl qui t'interpèle.

[Daryl]: "Je vois que pour une fois, tu t'est réveillé à l'heure ! Alors en pleine forme pour ce soir ?"

- Ma foi je me serais après un bon repas!

Je me sers avant de les rejoindre à table.

- Alors, tout s'est bien passé pour vos préparatifs?

[Daryl]: "Tant mieux, nous allons avoir besoin de toutes les forces disponibles ! Nous avons tous ce qu'il nous faut, il n'y a plus qu'à partir, ce que nous ferons à la tombée de la nuit. Toujours partant pour être dans l'avant garde ? Je pense que c'est là que vous talents nous serons le plus utile."

- Bien sur, je préparerais mes sorts après le repas. Je compte retourner à la bibliothèque durant la journée. Je rentrerais dans l'après-midi si vous êtes d'accord.