Nielas Aran & Zenyatta - Acte I

8 Hop 453 de l’ère Molhoïc.

Vous êtes dans la chambre de Nielas Aran, vous vous retrouvez pour la première fois depuis plusieurs jours, pendant lesquels vos vies ont basculé.

- Tu vas bien ? Pas trop chamboulée ? Raconte-moi où t'as disparue, après je te dirais ce que j'ai réussi à faire...

-Alors écoute moi bien, assis toi parce que tu ne vas sûrement pas me croire.

- Je t'écoute.

-J'ai été projeté dans une autre dimension, une sorte de dimension infernale, ou j'ai été enfermé dans une prison. La ma goelienne est arrivée, une sorte de démon avec des tentacules, et m'à abusée sexuellement... Mais en fait j'ai bizarrement apprécié, ce qui nous a surpris toutes les deux, elle m'a ensuite transportée sur une terrasse ou j'ai vu une sorte de grande bataille entre démon, elle m'à ensuite donné ce collier afin que nous puissions nous comprendre. Elle m'à alors dit que cela m'a gênait que son esclave n'était pas à son aise dans ce monde et m'à donc renvoyé dans notre dimension en me disant qu'elle reviendrait me voir quand elle en aura l'envie. Et la il va falloir que tu m'écoute: Il y a deux choses, l'une c'est qu'il est vital pour moi que j'ai toujours ce collier sur moi, l'autre et quand je te demande de ne pas me suivre, tu ne me suis pas, car je pense que le démon ne réagirait pas très bien si il voyait que je suis accompagné de quelqu'un et je pense avant tout à ta survie, est-ce clair ?

- Je ne dois pas te suivre, seulement la nuit ? Où c'est un adieu définitif que tu fais là ?

-Non ce n'est pas définitif, mais si jamais je te demande de ne pas me suivre, tu ne me suis pas, je reviendrai après, c'est dans ton intérêt.

- Fort bien. Tu veux que je te raconte mon histoire ? Je vais faire court.
En fait, je vais quand même la raconter, même si tu t'en fous.
J'étais troublé après ta disparition dans la tente, ne sachant que faire, et vu que tu m'étais un tantinet utile, je me suis dis que j'allais jouer pour avoir un voeu et te ramener, puis j'ai tout perdu, l'argent, les armes, tout. Sur ultime coup de poker, je rejoue, n'ayant plus rien à perdre. Et là je gagne un joli chateau, que je réussi à vendre pour... Attention : 500 000 pièces d'or ! Là il m'en reste 427 450, mais cela reste beaucoup ! Je pense qu'on aura des courses à faire, et un ptit tour à la banque ne ferait pas de mal.
Alors, prêt à aller faire des courses ?

-Ecoute Nielas, je n'aurais besoin de beaucoup d'argent, juste de quoi m'acheter de nouveaux habits mais garde le maximum pour toi j'en aurais pas beaucoup besoin.

- Ne t'inquiètes pas va, on est riches !
*Enfin je suis riche*

- Allons en ville dès maintenant ! Qu'en dis-tu ?

-Je te suis...

Alors que les deux amis discutaient rien de notable ne se passa.

Je prends donc mon coffret et sors de l'auberge. Je choppe le premier passant qui n'a pas une tête de clochard et lui dit :

- Bonjour, sauriez-vous où je peux trouver une banque, s'il vous plait ?

Je le suis...

Tu interpelles un passant et tu lui fait ta demande. Zenyatta ne comprends pas ce dont tu parles. Le passant ne comprends rien non plus.

[Passant]: "Une quoi ? Je ne vois pas de quoi vous parlez ..."

- Un endroit où l'on peut déposer son argent pour qu'il soit gardé ? Ou alors un endroit où l'on peut acheter un coffre fort ?

[Passant]: "Vous avez confiance dites donc, moi je ferai pas garder mon argent si j'étais vous ! Pour acheter des coffres forts par contre je dois avouer que j'ai aucune idée ..."

- Pas grave, laissez tomber.

Sans dire un mot de plus, il continue son chemin.

Nielas Aran se mit à la recherche de boutiques vendant divers objets magiques, pour ce faire, il alla dans le quartier des mages de la ville. A peine arrivé, et après avoir bien galérer à porter seul son coffret de pièces de platine, il se rend dans une boutique généraliste où il achète divers objets, des anneaux, amulette, et autres joyeusetés. Bienheureux de ses achats, ils se rendit dans une forge, mais il fut loin de penser que cette forge allait changer sa vie. Nielas entre :
« Bonjour, vous êtes bien forgeron ? ».
« En effet, vous voulez quelque chose ? » répondit le forgeron.
« Oui une commande assez spéciale et chère, j’aimerais vous en parler ».
Et alors, personne ne sait pourquoi encore aujourd’hui, mais Nielas prononçât tout bas : « Tu peux m’appeler Nielas-kun ». Cependant ceci parvint aux oreilles du forgeron, qui le prit… à sa manière.
« Bien, alors asseyez-vous là, ou même sur mes genoux si tu préfères… ».
« Non merci ! Je vais prendre le tabouret ! » répondit Nielas, sentant que son anus serait alors plus à l’abri sur ce tabouret.
Nielas exposa alors clairement son projet d’armure en adamantium. Et le forgeron dit :
« Ça risque d’être compliqué, mais si c’est pour toi Nielas-kun, je vais me débrouiller » dit-alors celui qu’on appellera dorénavant le « Bro-Forgeron ».
« Mais oui très certainement. *kof kof* Bref, je reviendrai vous voir pour vous dire comment contacter dans la semaine. » dit Nielas.
« Tu peux revenir quand tu veux tu sais » lui dit-alors le Bro-Forgeron, tout en faisant un clin d’œil.
Nielas, dans son empressement de quitter la forge, oublia de commander sa nouvelle arme, il dût alors retourner dans la forge.
« Re-bonjour, c’est encore moi »
« Je ne t’attendais pas si tôt, mais ça me fait plaisir de te voir Nielas-kun » lui dit le forgeron tout en s’approchant de lui.
« Oui en effet, j’aimerais vous parler de mon projet d’arme, si vous avez deux minutes »
« Pour toi j’ai tout le temps qu’il te faut mon petit Nielas… »
« Hem, alors voilà… »
[…]
Après la discussion, Nielas repartit alors, saluant une dernière fois le Bro-Forgeron.
En repartant, il vit alors l’inscription sur la pancarte.
« Bro-Forge » avec marqué en dessous :
« Ici, nous astiquons vos armes, et bien plus encore »

Dépité, Nielas retournât à l’auberge où il séjournait.